lunes, 7 de septiembre de 2015

Titre, "Le vin du désert"; auteur, Fernando Mir Casaus; éditorial, Bodega DCueva.

Le monde du vin a accroché Fernando Mir Casaus au fur et à mesure qu'il se rendait compte de ce qui lui attiré dans la vie: même s'il a né à Saragosse, il lui a toujours plu retourner à Lanaja, le village d'origine de ses parents, pour aider son oncle dans les travaux agricoles. Puis, en 2001, et avec toujours ce goût par la campagne, il s'est consacré à la plantation d'un vignoble avec son père et son grand-père, et comme ça élaborer un vin pour la famille et au même temps rattraper deux traditions: d'un côté une tradition familiale consistant a avoir un vignoble et de l'autre côté une tradition regional, parce que dans la région de los Monegros le vignoble a été la culture la plus important jusqu'à l'arrivage de l'arrosage.






  Dès ce moment là, rien serait comme auparavant. Le travail dans le terroir, l'élaboration artisanal du vin dans la cave familiale et le côté social et gastronomique de ce domaine lui attiraient de plus en plus jusqu'à ce que, un jour, il s'est décidé a faire des études d'oenologie lorsque il avait déjà fini les études de commerce.

Après, il a toujours fait de bons pas en avant: la visualisation du projet, se jeter à la recherche d'une financement nécessaire pour un jeune appartenant à une famille assez humble etg qui part de zéro. Puis est arrivé le reste: l'achat du terrain de culture et du terrain pour bâtir la cave à vin, la plantation des premiers ceps de vigne, le bâtiment de la cave, la première récolte, l'émotion d'une première élaboration et, enfin, la naissance des premières "Vins du Désert", le "Soif" 2011 et le "Dune" 2012.




Ce petit-grand projet, que c'est comme Fernando aime le nommer, se développe à Lanaja, sur des terrains qui appartienent au désert de Los Monegros et qui se trouvent au même temps aux falncs de la Sierra de Lanaja. Cet endroit façonne un écosystème unique en Europe et Fernando Mir a voulu dès le début que ses vignobles tirent leur caratère de cet endroit si hostile.
  • Le faibles précipitations déclanchent un rendement des vignes très maigre, vers 800 gr., ce qui favorise une intensification des arômes dans chaque petit grain de raisin, et aussi une grande concentration en sucre.

  • Les sols de "cascajo", caillouteux et profonds que, loin d'être nuisibles, permettent aux longues racines atteindre de l'humidité dans les mois les plus seches.

  • L'altitude du vignoble, entre 460 et 500 m., et la Sierra de Lanaja, favorisent une température modérée et en conséquence un mûrissement du raisin beaucoup plus lente et progressif.

  • Dernièrement, la bise("el cierzo"), qui devient un allié agissant comme fungicide naturel pour les ceps.
Les "Sed" et "Duna" sont des vins qui portent une signature, celle de Fernando Mir Casaus, des vins qui ont été dégustés aussi bien dans des théâtres que dans des galeries d'art, et qui ont même servi pour assortir des rencontres littéraires, comme celui qui a eu lieu à Barcelone avec la célèbre écrivain María Dueñas. L'auteur Fernando Mir, najino d'adoption, crée ses vins sur la base de des principes qu'il semblerait les avoir pris à quelques personnages célèbres qui font partie de l'histoire du village de Lanaja et de la région de Los Monegros.Ces principes permettent que "Le Vin du Désert" devient un produit gourmet.

L'un de ces personnages a été Fray Manuel Balleu, peintre du 18ème siècle et moine du Monastère de las Fuentes, proche de Lanaja, où l'on peut trouver l'une de ses meilleures oeuvres, une impressionnante peinture murale composée de plus de 250 scènes.

Assi bien que Fray Bartolomé Balleu a décoré son monastère avec une méticulosité et avec un soin propres d'un moin chartreux, Fernando Mir a pour seule objectif dans son projet la cherche de excellence.

  • "On n'introduit pas à la Cave DCueva  que des raisins étant en bon état, aussi bien sanitaire que de maturité organoleptique et phénolique".Pour cela, presque tous les jours, Fernando visite les vignobles pour apprécier l'évolution  de la maturité. Puis, au moment de la recolte, on n'entase pas que dix Kilos à chaque nacelle et seulement après avoir surveillé en personne tous les raisins. On n'utilisse pas ni phytosanitaires ni desherbants et à leur place, on pique les vignobles, on fait le labourage avec de la traction animale et on désherbe à une machine à fils. C'est ainsi que la faune et la flore peuvent donner un equilibre biologique au vignoble. Puis, une fois dans la cave, il continue le soin dans l'élaboration en faisant l'embouteillage par gravité et, par exemple, avec désinfection à l'ozone de tout la pièce. Le résultat final du programme iconographique de Manuel Bayeu sont des peintures murales avec des couleurs brillantes, des couleurs qui deviennent des aromes et des goûts lorsque l'on parle du "Vin du Désert"



  • De nos jours il n'a pas beaucoup de temps pour ses loisirs et s'il en a un peu, il en profite pour faire un peu de sport ou bien pour rejoindre ses proches. Néanmoins, loin de vouloir débrancher, il utilise ces activités pour recharger ses accus et pouvoir ainsi continuer le travail aux vignobles, dans la cave et avec les clients, parce que lui il aime faire toutes ces tâches.
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  • Tenant en compte tout le travail qu'il y a derrièr de chaqu'une des bouteilles de "Sed" et "Duna", ce n'est pas étonnant de trouver sur le site www.dcueva.es des expresions comme celle ci: " c'est un grand honneur trouver nos trésors dans la carte du prestigieux restaurant Mugaritz". Parce que pour Fernando Mir Casaus ses vins sont un trésor, un trésor comme le "taurear en or" que, selon la légende, se cahe au sous-sole du châteaux de Montoro que se situe à Lanaja et que personne n'a encore trouve. Cependant les "Sed" et "Duna" on peut les toucher et surtout on peut les gôuter.



Ces terres on été aussi traversées par Alfonso I de Aragón "el Batrallador", le roi qui a reconquéri Lanaja pour le Royaume d'Aragón et qui a décédé à Poleñino, pas loin de Lanaja, puis d'avoir été mortellement blessé à Fraga. Le plus soulignable de ce Roi a été son courage et son ambition pour vaincre dans une bataille qui avait pour lui des traits d'un croisade.
  • De même que Alfonso I a assumé une grande responsabilité politique et religieuse, Fernando Mir, tout en étant conscient de la qualité de ses vins, il veut aller plus loin dans la recherche de nouveaux clients. Parce que ce projet, petit de taille, mais très grand dans tout le reste, veut atteindre, sans augmenter la production, de nouveaux clients aussi bien en Espagne qu'à l'étranger. Avec le bagage d'avoir été choisi comme troisième meilleur vin d'Espagne après lui avoir décerné le Diplôme Nez en Oro 2014 et de faire partie de la carte de trois restaurants etoilés par le Guide Michelin avec une étoile (
    Mugaritz, Lillas Pastia y Tatau Bistro), l'aspiration pour ce "Vin du Désert" c'est d'atteindre encore plus restaurants haute cuisine sans laisser de côté les clients des vinothèques et des magasins gourmet. Pour lui ces client ne sont pas des personnes anonymes mais des amis très estimés, des clients qui connaissent le projet et qui savent le transmettre au consommateur final. Avec ces liens si étroits, palpable si l'on se rend pour connaître la cave, on veut atteindre une fidélité et une satisfaction fondamentaux pour Bodega DCueva.
Pas très loin d'ici s'est retranché  George Orwell à la Guerre Civile Espagnole et c'est aussi dans ces terres que Mariano Gavín a commis ses méfaits, surnommé "Le Robin Hoos de Los Monegros". Tous les deux peuvent être définis comme des personnages rêveurs lesquels voulaient renverser l'ordre établi. Le fait est que, le romanticisme comme les rêves, sont aussi des traits de la personnalité de Fernando Mir Casaus.
  • Des rêves comme ceux qu'il avait au moment de bâtir la cave de vins avec son père et le maçon. Là, à la fin de la journée de travail et assis sur le banc qu'il y a juste en face, il rappelait les mots de son père lorsque, vingt ans auparavant, lui parlait de l'adéquation de cet endroit pour planter la vigne et l'envie de rentrer à l'avenir au village que ces mots lui ont produit. Aujourd'hui le rêve est devenu une realité et il habite à Lanaja et se consacre à ce qui le passionne.
  • Le rêve aussi de voir ce projet, petit en ce qui concerne la taille, devienne plus important en rapport la reconnaissance.
  • Et l'espoir de mener à bien l'agradissement de la cave à vins, ce qui lui permettra  améliorer le confort dans le travail aussi bien que augmenter l'image de l'entreprise.

Mais, après tout, tous ces personnage font partie du passé et le présent appartient à Fernando Mir Casaus et sa Bodega DCueva pour qui, selon ses propres mots: " Il s'agit d'une cave toute petite, egarée dans une région d'Aragón, qui est consacrée à l'élaboration d'un vin très particulier", "c'est un vin très attaché à la gastronomie, dont le haut degré d'alcool lui donnent de l'onctuosité". Ce sont des vins très intenses pour les goûter longuement et, encore mieux, si on le fait avec de la bonne compagnie".

À la vôtre avec du bon vin, naturellement....du vin de Los Monegros!!



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